De temps en temps on croise des plats comme ça dont on n’arrive pas à se remettre. Et celui là il ne m’a pas loupée. On parle beaucoup d’alliances terre-mer ces jours-ci, en voila une qui ne mégote pas : la terre et la mer, on se les prend bien dans la face !
On pourrait croire que cette recette constitue le plat emblématique de quelque auberge de Bretagne, et pourtant c’est bien à Lyon, à la mythique table de la mère Brazier, que nous avons eu la chance de déguster cette splendeur. Je vous parlerai bientôt plus en détail de cette soirée mémorable, mais pas tout de suite, car avant toute chose, il FALLAIT que je refasse ce plat. Je voulais tout de suite me l’approprier, histoire de voir si j’arrivais à approcher quelque peu le travail du grand Mathieu Viannay (le chef de la Mère Brazier, donc).