Bonjour à vous mes petits raviolis vapeur, aujourd’hui on parle d’un monument, d’un incontournable, d’un aliment qui n’est rien de moins que l’âme de la cuisine coréenne : le Kimchi.
Élément parfaitement essentiel de la gastronomie du pays du matin calme, le Kimchi fait pour moi partie de ces aliments capables de vous rendre complètement accros malgré leur saveur à priori peu aimable.
Je m’explique. En matière de goût, si l’on trouve de tout (il y a par exemple des gens qui aiment le Nutella les pauvres), on pourra considérer généralement que le poulet rôti est plus facile à apprécier que l’andouille de Guéméné. C’est que l’andouille, comme le camembert ou les rognons, sont des aliments qui présentent des saveurs fortes, parfois presque dérangeantes, qui ne se laissent pas apprivoiser facilement.
Quand je vous aurais dit que le Kimchi est un légume (en général du chou) fermenté et sérieusement pimenté, vous comprendrez pourquoi je le classe dans cette catégorie – et lorsque l’on goûte du kimchi pour la première fois, on est frappé par son aigreur, son feu pimenté, sa puissance**.
Alors on en prend juste un petit bout. Et puis un autre. Et puis un autre. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, on se retrouve à demander un supplément kimchi à la serveuse.