En plumant les canards l’autre jour, mon mari a eu cette réflexion : « Et bien là, ce qui est sur, c’est que je ne pense plus au boulot« .
Tu m’étonnes !
En 2010, pour les citadins que nous sommes, recevoir et apprêter du gibier, c’est une petite aventure. C’est du boulot, c’est bestial, c’est sanglant, et pourtant… on approche de ce que la gastronomie a de plus raffiné : la folie douce de passer trois jours en cuisine, juste pour une poignée d’instants gourmands partagés avec ceux qu’on aime.
Nous remercions donc chaleureusement notre talentueux chasseur Yves (et sa charmante épouse Catherine) de nous avoir fait le cadeau de trois magnifiques canards colverts, et pour leur faire honneur (aux canards), j’ai décidé de me lancer dans la confection d’une terrine de fête accompagnée d’un double consommé *. Lire la suite